No-Mad(e)
No Made est un solo de danse produit à Strasbourg en décembre 2019
- Fiche technique
o Chorégraphie, scénographie, interprétation : Marino Vanna
o Création lumière : Catherine Chaverat
o Création sonore : Alexandre Dai Castaing
o Date : 2019-2020, durée 45 mn
- Qui est Marino Vanna ?
o Danseur, interprète et chorégraphe strasbourgeois
o Il commence la danse cambodgienne des son plus jeune age dans le cadre familial
o A l’âge de 8 ans il s’essaye à la Breakdance au sein d’un collectif. Il participe ades battle, des shows et pratique les autres style de danse hip-hop dites « debout » durant son adolescence.
o A 16 ans, il souhaite enrichir son registre et s’ouvre aux disciplines classiques et contemporaines au Conservatoire de Strasbourg.
o Il se forme de manière autodidacte a la house et en 2016 il remporte le premier prix du concours house dance international a New York
o Il décide d’apprendre les claquettes a la Broadway Dance Center pour approfondir sa technique
o Il collabore avec les compagnies Amala Diancr, Mira, I des Si, Magic Electro
o Il fonde sa propre compagnie en 2017 : Cie no-ma
o No made est sa première production en tant qu’auteur
- Significations du titre
o Peut se lire « nomade » en français, ce qui revoie a la notion de voyage, d’apprentissage, de cultures et de danses
o Peut se lire « no mad » en anglais en référence a un changement constant de registre pour ce 1er spectacle
o Peut se lire No Made en anglais : sans origines, dans le cadre d’un questionnement de la notion d’histoire et d’identité, renvoie au début de sa carrière et a la notion d’improvisation
- Le solo :
Dans son solo Marino Vanna cherche a transmettre un ressenti au spectateur et aélaborer un contact . Pour lui cette notion de contact est primordiale et c’est pour caqu’au début du solo il est déjà sur scène, pour accueillir le public et avoir un premier contact. Son spectacle est a moitie chorégraphie mais aussi a moitie improvise. Ce contact avec le public lui permet donc de choisir comment rythmer sa danse et projeter ses émotions chaque soir. Ses mouvements sont lents et maîtrises, c’est une prouesse. Il y a une fusion entre danse et musique. La lumière tamisée accentue la proximité avec le public, créant un cocon propice a l’introspection. Ses mouvements racontent son histoire pour aller vers l’autre et créent finalement une universelle a laquelle le spectateur peut s’identifier. Après tout ne sommes nous pas tous a la recherche de sens et d’identite, influences par diverses cultures dans un monde mondialisé ? Ne sommes-nous pas tous « no Made » ?